Bonjour,
Malheureusement pour moi, j’ai attrapé le variant XBB. Vous savez, le nouveau variant qui circule en ce moment. Entre l’extinction de voix, je crache mes bronches, la perte du goût et de l’odorat, je me trouve bien affaiblie. Mais bon, je ne vais pas me laisser abattre. J’espère que tout ira mieux pour moi. Ça fait deux semaines que je crache mes bronches. Courage à vous tous qui avez bien souffert, je suis de tout cœur avec vous.
Bonsoir de la Normandie
Floriane
Juste un rhume, rien de plus.
Pour le rappel des injections Covid qui n’ont de vaccin que le nom… J’ai fait de gros problèmes cardiaques, je regrette vraiment de m’être fait injecter ces substances aux effets secondaires parfois catastrophiques. Une amie a perdu sa fille de 31 ans le 2e jour du soi-disant vaccin, laissant 2 enfants de 1 an et 3 ans. Ces injections ont été commandées par Van der Layen (EU) pour la somme de 4,5 milliards (on comprend parfaitement les enjeux). Ils n’auraient dû être mis sur le marché que fin 2023 / début 2024. Nous avons servi de cobayes pour des produits qui n’arrêtent ni la contamination, ni la transmission. Les voix de certains professeurs et médecins se sont élevées et on les a fait taire, un scandale sans nom !
Bonjour, je m’appelle Marie. J’ai 37 ans, maman de 2 garçons de 7 et 3 ans. Il y a 17 jours d’ici, je commence à tousser, à avoir mal à la tête, à me sentir plus faible et fatiguée. Je me dis que c’est une grippe. Dès le lendemain, je suis sans force, j’ai mal dans la poitrine, je tousse, j’ai le nez bouché et je tiens à peine debout. Tête qui tourne, dans le cirage total. 2 jours passent et je ne suis plus capable de rien. Je fais un test, il est positif. Ma maman doit me reprendre chez elle et s’occuper de tout. Je vous énonce ce que je ressens chaque jour depuis : grosse faiblesse musculaire, gros mal être général, fourmillements dans la bouche, les jambes, corps lourd, toux, fatigue extrême, acouphènes, tremblements, soif, nez bouché, perte du goût et de l’odorat, vue qui baisse, maux de tête, pas de force, perte d’équilibre, mal dans la poitrine, dans le dos, du mal à respirer, difficultés à parler, à trouver les mots, sensation d’être à 2 doigts de m’évanouir, douleurs musculaires, trouble de la vision, maux de ventre et d’estomac, tête dans le flou, l’impression d’avoir le cerveau et la tête embrumée, dans de l’ouate, bouche sèche, pression dans la tête, maux de gorge, fourmillements dans les mains, les jambes, ne pas tenir sur mes jambes, essoufflements, diarrhée, envie de vomir, malaise global intense. J’en pleure de rage et de peur. Je veux retrouver ma vie, mon état de santé normal, retourner chez moi avec mes 2 bébés. Je suis au bout du rouleau.
Bonjour à tous et à chacun.
Lire ces différents témoignages m’a apporté durant l’épreuve que j’ai vécue. Car, oui il s’agira d’épreuves. En 2020, le monde entier est plongé dans une atmosphère délétère, anxiogène, où les citoyens se divisent entre ceux qui doivent aller au front, ceux qui sont confinés mais vivent aussi parfois un enfer. Nous sortons progressivement de ce chaos, mis sous cloche pendant 2 mois. La liberté de chacun, vivre avec les autres, nous sommes bel et bien un peuple épicurien, aux besoins vitaux de respirer la fête, le goût de la liberté. Au fur et à mesure du temps, nous avons évolué sur la prise de vaccin pouvant impliquer une immunité dite collective. Là encore, nous serons divisés entre ceux qui refusent, ceux qui n’ont pas le choix, ceux qui acceptent. Nous devenons agressifs, dans cet imaginaire collectif, les citoyens de ce pays aux valeurs des droits de l’homme, fondement de notre société, perdent pied. Dans tout ce marasme, nous avons gagné un peu, beaucoup en liberté, le port du masque et le gel s’effacent progressivement des mesures sanitaires imposées. Car, il faut le dire, tant que l’Etat n’impose pas, le Français ne pense pas forcément par sa propre réflexologie. Nous sommes donc en 2022, l’Ukraine arrive en première place dans le Top 1 des informations. En deuxième, nous avons la production de gaz et comment se chauffer cet hiver. En numéro 3, nous sommes sur l’environnement et cette canicule qui ne nous lâche pas. En 4, l’évasion d’un imam, c’était pas trop prévu au programme mais il fallait bien lui laisser une petite place. En 5, les feux dévastateurs, et puis en 6, la rentrée scolaire. Et en 7, cadeau, le variant B je sais plus trop, mais peu d’éléments sur ce virus.
Alors, forcément, tout est tombé. Les doses de vaccin, on ne sait plus s’il faut en refaire, les masques, on les as oubliés… et voici donc, je ne saurai dire à quelle date, où je l’ai pris, mais j’ai eu un locataire venu se loger chez moi pour un bail d’une durée visiblement indéterminée. Pourtant, je lui ai dit que c’était 7 jours maxi. Mais la grande instance des bailleurs, la sécurité sociale, elle, elle ne sait plus trop. Après tout, on s’y perd dans tous ces protocoles…
Vous l’aurez compris, je suis un peu, beaucoup, passionnément, écœurée. Je suis en colère car je ne sais pas qui a pu me le refiler, car je n’ai jamais été cas contact. Je suis en colère de voir que nous n’avons plus aucune mesure barrière alors que ce virus circule encore et que notre mémoire collective est aussi désastreuse et baisse encore plus vite que nos anticorps. Je suis sidérée d’avoir passé cette épreuve toute seule sans l’aide du corps médical. Je reste ébaubie face à la bêtise humaine, où j’entends encore « rhooo ça va, c’est un bon gros rhume ». Je propose de taxer la bouffonnerie, on devrait pouvoir relever nos dettes assez vite.
Je suis arrivée dans ce nouveau département, j’attaque un nouvel emploi. Le lundi 28 août, je suis prise de légers maux de gorge.
J2, mardi, mal en point, fatigue qui domine le reste. Je me teste deux fois au travail, ce petit vicieux de virus ne s’affiche pas…
Le soir, fatiguée mais je gère encore.
J3, mercredi, c’est pas le top. Je déglutis, je ne sais pas pourquoi, j’ai très mal à ma gorge. Je me teste. Oula. La barre s’affiche à une allure. J’en refais un, puis un autre. Je crois que je ne voulais pas y croire… et merde… je l’ai. J’ai choppé cette petite vie qui va venir se loger en moi et me pourrir mon corps. Chopper un virus dont tout le monde parle. Qui a tué des personnes. Flippant, non ? Dans notre famille, nous avons eu un décès. Mon mari a perdu sa maman, vague de 2020. Et cela a été une douleur indescriptible, un deuil presque quasi impossible pour nos enfants, une cérémonie restreinte, un fils qui doit dire au revoir à sa maman dans ces conditions, tout a été très sombre durant cette période. Alors que je le prenne, ça fait peur à tout le monde.
Je me prépare mentalement. C’est vrai : un combat m’attend. Je sais que mes doses complètes de vaccin datent d’il y a 8 mois. Je sais que je suis très fatiguée en ce moment et que là, c’est mon corps qui va devoir lutter. Je dois avoir deux / trois soldats qui partent au front, je n’ai plus mon armée… alors prépare-toi ma grande !
J4 jeudi, ça commence à être de plus en plus dur mais je gère. Je me mets même au soleil pour avoir de la vitamine… Je suis au ralenti. Rhume et sinusite affreux. Douleurs articulaires et le cœur qui n’approuve pas du tout, extrasystole en veux-tu en voilà, des moments de « raté » du cœur… Je ne peux dormir allongée… Mais je vais quand même me balader le soir, essoufflée, comme si j’étais possédée… La nuit de jeudi à vendredi fut horrible. Et vendredi,
J5, je suis dans un état lamentable. Je savais qu’il y avait un pic dans la maladie. Et que d’ailleurs c’était à ce pic que la maladie bascule.
Mon test PCR est positif depuis mercredi. Je n’ai toujours aucun appel. C’est moi qui appelé un médecin car j’ai une insuffisance cardiaque.
Je suis incapable de lire. Mes yeux me brûlent. J’ai des lunettes de soleil en permanence. Mon mal de tête me rend folle. Il ne me quitte pas depuis lundi. Quelques rares troubles digestifs. Douleurs articulaires intenses. Je prends un peu de doliprane, mais je ne prends pas d’autres médicaments. Vitamine C.
Je ne mangerai rien ce jour-là. Le vendredi soir, une petite lueur, je me sens un peu mieux, et comme toute maman qui se respecte, la première chose que je fais, c’est du ménage. Et en quelques minutes, je m’écroule.
Je suis d’une nature très très active. Je suis devenue une loque toute sèche, une baleine qui a échoué hors de l’eau. Pitié, remettez-moi dans ma vie !! Sors de ce corps. A défaut d’avoir un soutien du corps médical, je lis ces témoignages qui m’aideront beaucoup. Vendredi soir. 23h. Je bois une bière. Quitte à être bourrée , autant être bourrée avec mon pote le virus, au moins, il dormira ce soir.
Bingo. Il est HS, et ma nuit se passe à peu près correctement.
J6 samedi. Je déjeune bien. Je vais mieux. Le rhume fait partie de ma vie. Je crois que je ne parlerai plus jamais comme avant. « Je suis balade » du nez… J’ai mes maux de tête également mais allez savoir pourquoi, je me sens un peu mieux. Je range, gère mon linge. Et puis, vers les 12h, je m’écroule encore. Impossible de respirer. De tenir debout. Prise de vertiges. Je sens que je pars dans les tréfonds de l’enfer, encore une fois.
C’est un enfer ce virus. Il défie toutes les lois de la nature. Il fait croire que tu vas bien, mais il te dérouille tout. Je fais de la tachycardie à me faire exploser la tête. Cela fait 6 jours qu’aucun symptôme ne m’a quittée. Un vrai combat.
J’ai dormi 35 minutes. Et à mon réveil, je sursaute… sensation très curieuse.
Je me lève et décide de lutter, de me bouger, ça suffit. Je ne veux pas avoir de séquelles, je ne veux pas vivre dans cet état, je dois reprendre le travail lundi. Car en plus d’avoir chopé ce parasite, je perds en salaire… youpi.
Le samedi, je surmonte ma journée mais j’y arrive. Le soir, je mange, et je rebois une bière. J’arrive à faire quelques exercices de sport. Je souffle tel un bœuf de rodéo, mais je suis plus forte. Je dois le plier, car je sens que je suis en train de perdre pied.
Ce virus nous claque tout, il est d’une telle virulence que je crois que je me suis rendue compte à quel point nos vies étaient parfaites.
Quand on se souhaite la bonne année, nous avons cette tendance à balancer cette phrase commune et traditionnelle « bonne année et bonne santé, tant que l’on a la santé, ça va » mais combien se plaignent de leur vie ?
Nous sommes toujours à la recherche d’avoir plus. L’opulence de nos biens ne nous suffit plus. Même après 2 ans de vie avec ce virus, on n’a toujours pas compris cette chance que nous avions d’avoir cette santé.
Moi je me suis rendue compte que, sans elle, sans mon corps, tout bascule. Aux risques de grandes platitudes, je crois que ces épreuves doivent nous rappeler ô combien notre vie est précieuse.
Dans tout ce marasme, je sors avec une philosophie de vie.
Nous sommes dimanche.
J7. J’ai encore des symptômes et je sais qu’ils seront là encore longtemps… mais je vais sourire à la vie. Pensée à toux ceux qui ont souffert ce martyre dans les hôpitaux, loin de leurs familles.
Et j’invite quiconque qui dira que ce virus est un complot ou une grippette à reconsidérer sa philosophie de vie.
Prenez soin de vos valeurs, de vous et vos familles.
Bonjour à tous,
Je reviens sur mon dernier témoignage.
J’ai été positive le 16 août 2022. Les symptômes aigus ont duré 3 jours. J’ai pensé que c’était fini car jours 4 et 5, plus de symptômes.
Malheureusement, jour 6, une sensation d’oppression thoracique.
Jour 7, une lourdeur aux jambes.
Jour 8, grosse fatigue, courbatures dans tout le corps. Jour 9, gêne à la gorge.
Jour 10, ma langue est devenue verte.
Aujourd’hui J+ 20, je suis épuisée, j’ai toujours cette lourdeur à la poitrine, aux genoux et au dos. Moi qui suis sportive, je ne peux plus rien faire.
Même marcher m’épuise.
Ce virus est vicieux. Des symptômes vont et viennent, et même si je suis négative, je ne suis pas rétablie.
Je suis épuisée de cet état, je ne me reconnais plus. Moi qui suis active et dynamique, j’ai le rythme d’une personne âgée de 70 ans.
Est-ce que quelqu’un a déjà eu ces symptômes ? Combien de temps encore ça va durer ?