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Vos témoignages

Sab
Mère au foyer

Symptômes depuis ce matin, test positif. Je ne sens plus rien, aucun goût des aliments. Courbatures de partout, une pression et douleur thoracique, accentuée par l’inspiration. Mal au dos, tête, une fatigue extrême, un essoufflement particulier, la toux ! En espérant pouvoir vous écrire que tout va mieux dans quelques jours . 🤞🙏

22 décembre 2021
Mélody

Bonjour ,

J’avais témoigné le 22 juillet 2020 d’une grippe semblable aux symptômes de la maladie de la Covid de la première vague de 2020.
Puis le 25 mars 2022 sur ce que je pensais être des traitements efficaces.
Aujourd’hui, après une coloscopie et gastroscopie après quelques mois de maux d’estomac et de ventre assez chroniques (depuis d’ailleurs cette grippe) et un microbiote affaibli, on m’a décelé une hernie hatiale et une gastrite. En cherchant l’origine de cette hernie hatiale que je n’avais pas lors de ma dernière gastroscopie de 2014, je découvre qu’elle peut venir à la suite de toux prolongées et violentes et d’un affaiblissement du diaphragme, qui fait remonter l’estomac. Je me demande donc si ça n’est pas ces symptômes de toux très profonde + trachéite que j’avais subis en 2020 qui auraient pu générer cette hernie hatiale. Restera à voir avec le médecin si elle existe par glissement, ou roulement, ou encore est mixte et comment faire avec ça.
7 mois après la grippe de 2020, je n’avais plus aucun anticorps covid au test sérologique .

Aujourd’hui, je privilégie le ffp2 partout et des lavages répétés au gel, et pour l’instant je ne suis pas retombée malade même si je suis au milieu d’une foule de jeunes toute la journée dont certains toussent beaucoup, prennent les transports en commun, etc.

Prenez soin de vous ,
Mélody

3 décembre 2021
Damien
Facteur

Tout a commencé un lundi soir… Je finissais de manger… Ma sœur venait de m’appeler… Fini l’appel, je suis monté me coucher et me suis mis d’un seul coup à trembler de froid… Je réussis à m’endormir en étant loin de penser que le COVID était déjà en moi… Dans la nuit, mon corps est devenu brûlant, de là à inquiéter ma copine qui dormait à côté de moi. Le thermomètre m’indique 39,3 de température. Je me rendors et me dis que la température redescendra peut-être dans la nuit…

Au petit matin, la température était toujours la même, donc pas de travail aujourd’hui. Je préviens les responsables. Rendez-vous médecin l’après-midi, qui me prescrit un test PCR… Je me rends donc en pharmacie et là, le verdict est tombé… POSITIF… Un coup de massue… Réellement… Confinement total de 10 jours… Ne pas pouvoir prendre ma fille de 6 mois dans les bras ni enlacer ma copine qui en a fait beaucoup pour moi durant ce Covid… Un traitement… Beaucoup de repos… Ne pas partager les mêmes pièces au foyer… Porter des masques… Le protocole est strict.

La toux s’installe, les douleurs de dos atroces qui durent et durent… Comment se mettre quand le mal de dos est vraiment horrible… Puis s’installe une parosmie…Une sensation de ne plus reconnaître les aliments ou l’impression de manger tout autre chose… Odeur de moisi, de ferraille, des odeurs étrangères… Inconnues des aliments familiers que je mange régulièrement… Voilà où j’en suis aujourd’hui au bout de 4 jours des premiers symptômes… Le Covid est une leçon de vie qui peut toucher n’importe qui… Vacciné ou non… Un combat… Un réel combat…

Damien de Béganne

11 novembre 2021
Cynthia
Informaticienne

Tout a commencé le 5 octobre 2020. J’ai commencé à avoir des symptômes qui ressemblaient beaucoup à un rhume : un peu de fièvre, mal à la gorge et un tout petit peu de courbatures mais vu que c’était la période à laquelle j’ai toujours des rhumes, des rhinopharyngites, je me suis dis que c’était ça. Qu’on pouvait pas attraper le Covid aussi facilement. J’ai quand même demandé à mon chef si je devais me faire un test, il m’a dit que si je n’avais pas de perte de goût et d’odorat, c’était pas la peine. Du coup, j’ai continué ma semaine normale. Je suis allée le vendredi soir chez des amis pour dîner et je sentais que le repas n’avait aucun goût, mais je me suis dit que c’était la recette puisque quand c’était du piment, je sentais que ça piquait. Puis, on m’a fait sentir des épices (apparemment très odorantes) mais je ne sentais rien. Du coup, mon mari a commencé à se poser des questions. Je ressentais également une très grande fatigue avec picotements dans les yeux, mais comme j’étais enceinte, j’ai pensé que c’était la grossesse qui me fatiguait. Je suis allée me tester le lendemain à l’hôpital et le lendemain, résultat : positive au Covid19. Mes symptômes ont été modérés : très grande fatigue (je dormais très souvent et je ne pouvais pas m’empêcher de dormir, on aurait dit que j’avais une narcolepsie), mal à la gorge du coup je portais mon écharpe tout le temps même pour dormir sinon j’avais mal et froid à la gorge, un peu de toux mais pas grand chose, par contre une sensation de froid/chaud dans la poitrine et parfois une impression que je ne respirais pas bien malgré un taux d’oxygène bon. Je devais ouvrir la fenêtre chaque nuit pour dormir bien et comme l’air était très frais, ça me faisait du bien. J’ai refait un test une semaine plus tard, mais le virus du Covid était toujours là dans mon corps. J’ai mis un mois ou deux à me remettre complètement. Faites attention à vous, c’est vraiment horrible ce virus.

29 octobre 2021
Thierry
Educateur Spécialisé

Bonjour,

Après deux années « sans rien » – et oui, la COVID est présente en Europe depuis 2020-2021 -, je pensais passer à travers les « mailles du filet ». J’étais de ceux qui pensaient que nous devrions toucher à la fin de cette pandémie. Le vendredi 1er octobre, je sens monter en moi une grosse fatigue, mais j’ai beaucoup travaillé en septembre. Mais la fatigue montait et montait, puis une toux sèche assez curieuse. Avec les heures, la gorge en feu (plus à ce 13ème jour), j’ai sucé des pastilles de Propolis – que faire d’autre ? Puis en effet, des heures de sommeil lourd. Je devais voir ma compagne, pensant à un malaise d’automne, et puis elle est vaccinée, je me suis dit. Doucement, ma température est montée sans excès. Ma compagne m’a proposé de passer un auto-test en pharmacie, et là « surprise totale » : positif. La fatigue et les douleurs dorsales devenant telles, je me suis rendu aux urgences de Bruxelles où j’ai été refoulé. J’ai été à une polyclinique qui fait urgences : un autre accueil, écoute des poumons, prise du taux d’oxygène et certificat de 10 jours + le test PCR a confirmé : positif. Ma compagne va aussi finir par y passer (après un ou deux auto-tests négatifs ), elle avec cette fameuse « perte d’odorat ». Pour moi, de la culpabilisation de lui avoir donné ces gros désagréments. Peut-être à force de dormir, maux de dos, jambes lourdes et vraiment pas dans mon assiette. Les 10 jours de quarantaine sont passés. J’ai aussi eu droit au TRACKING (assez exigeant, plein de questions). Franchement, j’ai le droit de sortir, mais pas « vraiment la forme, ni l’envie de faire le tour du monde ». Oui, vraiment, je trouve ce COVID comme ALIEN, rien de comparable aux nombreuses grippes de ma vie, c’est comme autre chose ??? J’espère aller mieux dans les prochains jours, mystère ? Et que mon amie va retrouver ce sens précieux de l’odorat !

13 octobre 2021
Laetitia
Infirmière

Bonjour,
Je suis infirmière en EHPAD, ou plutôt j’étais car depuis le 15 septembre 2021 je suis suspendue parce que je refuse de me faire injecter ce vaccin expérimental.
Ce que je vais raconter est réel et vérifiable.
En décembre 2019, nous avons eu une épidémie de gale dans notre EHPAD du Sud de la Seine-et-Marne en Ile-de-France.
Pour remédier à cette épidémie, nous avons presque tous pris, soignants et résidents, de l’ivermectine en deux prises espacées de quelques jours.
Depuis le début de la pandémie de Covid et à ce jour, au sein de l’EHPAD, nous avons eu ZÉRO décès lié au Covid. Il y a bien eu quelques cas positifs mais pour la plupart asymptomatiques.
Et pour ceux qui avaient des symptômes, il n’y a pas eu nécessité d’hospitalisation. Si nous n’avions pas fait les tests pcr régulièrement, nous n’aurions rien remarqué.
Par contre, les nouveaux résidents entrants qui n’ont pas eu de traitement par Ivermectine parce qu’ils n’ont pas eu la gale et qui ont attrapé le Covid sont tous partis à l’hôpital et sont décédés.
Nous sommes plusieurs soignants à avoir tiré la sonnette d’alarme par rapport à cela mais même le médecin coordonnateur et la hiérarchie ne nous écoutent pas, ne nous entendent pas.
La seule réponse que j’ai reçue est que faire une étude sur l’ivermectine coûterait bien trop cher par rapport à la rentabilité de ce médicament qui est vendu à 9€.
Je tiens à rappeler que je n’ai aucun conflit d’intérêt et que mon seul but est que la vérité éclate au grand jour.
Bien cordialement,
Laetitia

27 septembre 2021